décembre 23, 2011

REMEMBERING THE KANA de James W. Heisig

INFORMATIONS

A companion volume for learning the Hiragana and Katakana syllabaries of modern Japanese. In six short lessons of about twenty minutes, each of the two systems of "kana" writing are introduced in such a way that the absolute beginner can acquire fluency in writing in a fraction of the time normally devoted to the task.





Date du parution : 15 mai 2007
Editeur : University of Hawai'i Press
Nombre de pages : 160
Prix France : 13,55 euros


MON AVIS

こんにちは。
セドリックです。
ベルギー人*です。
どうぞよろしく。


Vous avez récemment commencé l'apprentissage du japonais et vous êtes totalement fasciné par la structure de la langue mais... quoi que vous fassiez, vous avez énormément de mal à mémoriser les Kanas et vous devez sans cesse vous référez aux tableaux syllabiques ?

C'était mon cas et il faut l'avouer, c'est véritablement frustrant !
On bloque sur les graphies, on réfléchit, on sait qu'on connait la syllabe qui est représentée (on l'a déjà rencontrée), mais rien à faire, ça ne nous revient pas. 
Alors on jette un oeil sur le tableau et on s'exclame : "Ah ouiiiiii ! Je le savais !".
On se dit que cette fois, on le retiendra, qu'il n'y aura plus de problèmes. Sauf que quelques heures plus tard, le même problème recommence.

Et ça irait, si ça ne concernait que les Hiraganas. Mais bien sûr, il faut qu'il y ait deux "alphabets syllabiques" et donc, deux fois plus de graphies à mémoriser ! Mais comment ?!?

Ne cherchez plus !
La solution, vous l'avez sous les yeux ! (à condition d'avoir un bon anglais, mais je suppose que quand on s'intéresse au japonais, on a un oeil sur pas mal de langues et l'anglais n'est souvent pas/plus un problème).

James W. Heisig m'a sauvé la vie !
Bon, j'y vais peut-être un peu fort, mais c'est que, sans son ouvrage, je serais encore en train de me noyer dans un océan de Kanas qui chercheraient à me dévorer et à me faire renoncer.

Bien sûr, il est sans doute possible de parvenir à mémoriser les 2 x 46 caractères typiquement japonais sans cette méthode d'apprentissage, mais j'avais envie de maîtriser au plus vite ces symboles.

Et sincèrement... CA MARCHE !
Et ça marche même plutôt bien.

Si vous suivez bien les instructions du livre, ses recommandations et son rythme de travail, vous assimilerez à une vitesse incroyable l'ensemble des caractères japonais, en commençant d'abord pas les Hiraganas.
Chacune des fiches est présentée dans un ordre qui facilite l'apprentissage de chaque Kana, accompagnée d'un petit texte truffé de moyens mnémotechniques, d'un schéma qui vous indique le sens de tracé du Kana et de petits mots que vous pouvez DEVEZ vous amuser à tenter de reconnaître et de reproduire, au fil des pages.

Et vous verrez, en moins de temps qu'il n'en faut pour dire おはようございます, vous serez capable de lire le japonais (écrits en Kanas) avec une facilité que vous n'auriez même pas soupçonnée.

Je vous conseille de répartir l'étude en 2 ou 3 jours. Au début, je me suis lancé trop vite dans l'aventure et, arrivé aux Katakanas, mon cerveau refusait de mémoriser le moindre caractère supplémentaire.
De même, je vous recommande vivement de vous munir d'un cahier d'apprentissage.
Vous pouvez en trouver un excellent (et gratuit), qu'il vous suffira d'imprimer à la taille désirée, à l'adresse ci-dessous :

Enfin, vous pouvez vous procurer l'ouvrage salvateur sur Amazon, en suivant ce lien : VERS LA FICHE AMAZON

Alors ne craignez plus le nombre et la diversité des Kanas car bientôt, vous les maîtriserez aussi parfaitement que votre alphabet maternel, je peux vous l'assurer !

- MUST HAVE -

* Le symbole en rouge n'est ni un Hiragana, ni un Katakana, il s'agit d'un Kanji qui signifie : une personne.
Ajouté à la suite d'un nom de pays, (comme dans le contexte ci-dessus), il se prononce JIN et renseigne sur la nationalité du sujet.
ベルギー, signifie donc : BELGE.

a

décembre 05, 2011

QUATRIEME DE COUVERTURE

Après son voyage à Solandria, Hunter Brown retourne au collège où il a la vague impression d'être surveillé. Il ne peut s'empêcher de croire qu'il est suivi par l'Ombre et cette pensée le met dans tous ses états...
Hunter finit par rejoindre Solandria accompagné par Trista et Rob.
Mais Solandria a beaucoup changé : les Gardiens du Code ont été dispersés par la Résistance affaiblie.
Poursuivant l'objectif fixé par l'Auteur et conduits par une flamme mystérieuse, ils vont devoir faire face à une adversaire cruel, Xaul, qui fera tout pour dérober ce feu ardent et détuitre ce qui reste de la Résistance.


Date de parution : 22 mars 2011
Editeur : Salvator
Nombre de pages : 360
Prix France : 17 euros


MON AVIS

"Par la peur, un homme proclame qui est son maître."

Grandiose !
Si le premier tome m'avait parfois fait légèrement grincer des dents, ce deuxième volume, lui, est juste PARFAIT !

L'histoire démarre sur les chapeaux de roue !
Hunter Brown, de retour dans le Voile depuis trois mois, vit mal la solitude dans laquelle son séjour à Solandria l'a plongé. Il a tenté de raconter son histoire à ses proches, mais personne ne le croit. Et comme si ça ne suffisait pas, Stretch, son ami depuis toujours, ne se souvient pas avoir combattu à ses côtés auprès des Gardiens du Code, et commence à s'éloigner de lui.
Hunter se retrouve donc seul contre tous, défendant ardemment sa foi en l'Auteur et sa loyauté envers le Code de la Vie.
Mais est-il vraiment seul ?

Le hasard (ou le destin) va mener Hunter sur la route de Rob, un nouvel élève à Destiny Hills, et de Trista, une amie de sa soeur qui éprouve de la sympathie pour lui.

Une histoire en somme banale... Jusque là !
Car les voies de l'Auteur sont impénétrables et parfois... surprenantes !

Ensemble, ils sont propulsés au coeur du Shard de Galacia, un des territoires glacés de Solandria. Hébergé par les frères Thordin, Hunter retrouve un vieil ami, le capitaine Petrov, qui lui raconte les horreurs qu'a connu Solandria depuis son départ.

Trois ans se sont écoulés... Et l'Ombre n'a fait qu'asseoir sa puissance et sa domination sur le peuple de Solandria.

Tout semble perdu, la Résistance s'affaiblit et les alliés signent des pactes avec l'Ombre elle-même.
Mais une fois encore, la présence d'Hunter à Solandria n'est pas totalement superflue.

"Prends-moi ! Emporte-moi à Torpor !"
Une flamme éclatante s'adresse à Hunter, le chargeant ainsi d'une nouvelle mission dont dépendra le destin de tous.

Un deuxième tome incroyablement bien ficelé !
Le premier roman de cette saga m'avait parfois semblé trop facile, trop léger et trop prédictible, mais ce nouveau volume balaye tous ces fâcheux petits défauts pour nous servir une histoire complète, riche et musclée !

Rien de bien révolutionnaire, certes, mais les codes de la fantasy jeunesse sont ici habilement maîtrisés et détournés de leur utilisation ordinaire. C'est tout un monde qui s'ouvre devant nous, un monde nouveau, encore jamais visité et qui resplendit de beauté autant qu'il est submergé de moments sombres et cruels.

Les personnages sont plus étoffés, les réactions et les questionnements, plus crédibles et les retournements de situations permettent au lecteur de ressentir une vraie avidité dans sa lecture.

ON NE S'ENNUIE PAS !

Il est toutefois indispensable d'avoir bien en mémoire toute la trame du premier tome, sans quoi, vous risqueriez de passer à côté de certains éléments indispensables à la compréhension de l'histoire dans sa globalité (en gros, n'attendez pas 6 mois pour passer du tome 1, au tome 2, vous risqueriez d'être frustrés ^^).

Un tome 2 que j'ai dévoré avec un véritable plaisir de lire et dont j'avais hâte de connaître le dénouement.
Un dénouement bien cruel (s'il en est), qui donne envie d'acheter le tome 3 en version originale afin de l'engloutir au plus vite.

Une vraie réussite ! :)
- Géant ! ++ -

A

novembre 23, 2011

LE DIT DE CYTHELE, TOME 1 : LA RONDE DES VIES ETERNELLES de Nicolas Cluzeau

QUATRIEME DE COUVERTURE 

Une guerrière se voit entraînée dans une étrange ville par une petite fille au visage familier.
Un mage s'évanouit et est assailli par une vision cauchemardesque.
Un fils d'homme et de fée est victime d'une apparition morbide.
Une prêtresse rêve de funestes prophéties.
Quatre êtres aux parcours et idées a priori opposés se rencontrent sur le chemin de la ville de Corollis, mystérieuse et depuis longtemps coupée du monde, au sujet de laquelle courent les plus sombres et angoissantes rumeurs.
Lentement mais inexorablement, le piège se referme sur eux.




MON AVIS

"Les mages avaient emmené avec eux des gens du commun qui devaient suppléer à leurs besoins de base, comme l'agriculture, l'élevage, la production de nourriture, et ainsi de suite...
Néanmoins, il arriva quelque chose que les mages n'avaient pas prévu : le Noeud affecta aussi tous ces gens en leur transmettant une fibre sensible qui concernait leur métier ou une certaine dose de rêverie qui les faisait devenir poètes, musiciens, sculpteurs, écrivains ou peintres.
Le Noeud, quant à lui, se trouvait au centre exact de Corollis. Le manoir qui y avait été construit était en fait une école, un centre d'expérimentation, un endroit où tous les mages se réunissaient en journée pour accomplir leur recherches, travailler à de nouveaux sortilèges et produire des miracles ondilignes dont ils ne mesuraient que peu la portée."

La Damnation de Décyrion - II


La mort semble les attendre tous les quatre, du moins les guette-t-elle. Et pourtant, chacun d'entre eux éprouve le besoin de se rendre à Corollis, une ville maudite dont bien peu de gens parlent en termes élogieux et rassurants.

Quelques jours plus tôt, ils ont tous été victimes de visions morbides et inquiétantes, leur promettant à chacun une mort dans les mois à venir, précisément le jour de leur anniversaire :

Syrmaïl MacKarmyr, mage de renom, professeur à l'Académie de magie;
Cythèle Everoni, prêtresse du dieux des Morts;
Eringvard Ulfsen, fils d'un homme et d'une fée;
Brytomarte Caniparol, guerrière de l'armée de la République.

Dans le désarroi le plus total, ces quatres personnages vont devoir tenter de faire fi de leur différences (et de leurs différents) afin de s'allier face à l'adversité qui les menace. Et le chemin qui mène à la vérité risque de s'avérer plus tortueux encore qu'ils ne l'avaient imaginé.

Tout ça paraît bien glauque n'est-ce pas ?
En fait, ce n'est pas simplement un impression... c'est glauque. Mais diantre, quel plaisir !

Bien que plongé dans un monde infiniment complexe, régi par des lois qui paraissent parfois abstraites et bien incommode à saisir, le lecteur n'en est pour autant pas désarçonné, au risque de se perdre et de ne plus rien y comprendre. Enfin, ce n'est pas tout à fait vrai ! Parfois, on a VRAIMENT l'impression de s'y perdre. Mais au fil des chapitres, les éléments s'imbriquent les uns dans autres, se répandent dans notre esprit pour y trouver un écho cohérent qui permettra une schématisation parfaite (ou à ceci près) de l'histoire dans sa globalité.
Et le moins qu'on puisse, c'est que Nicolas Cluzeau n'a pas été avare en éléments du genre.
Non seulement il vous faudra prendre le temps de digérer l'histoire en elle-même (qui regorge de petits moments aussi sordides que délectables), mais en plus, il vous faudra absorber la richesse de l'imagination de l'auteur qui vous noiera sous une multitude de paysages insensés et pourtant, si habilement décrits, qu'il est impossible de ne pas se les représenter jusque dans les moindres détails.

Seul petite ombre au tableau (à mon goût), la longueur de certains détails, amenés de manière un peu trop répétitivement poétique à mon goût. Mais peut-être cela est-il nécessaire pour contraster et/ou atténuer la noirceur de l'histoire qui se déroule sous nos yeux.

Une lecture prenante et passionnante, loin des contrées jeunesse dont je ne m'éloigne que très rarement.

9,90 euros pour un roman d'une telle qualité, on aurait tort de s'en priver !


Date de parution : 16 octobre 2010
Editeur : Black Book Editions
Nombres de pages : 682
Prix France : 9,90 euros


- Plutôt bon -

novembre 07, 2011

QUATRIEME DE COUVERTURE

Hunter se retrouve, de manière surprenante, en possession d'un livre ancien et d'une clé. Il découvre bientôt que ce livre lui ouvre l'accès à Solandria, un royaume surnaturel aux mains de l'Ombre.
A Solandria, Hunter rencontre le groupe des Gardiens du Code, qui constitue la Résistance à l'Ombre. Il sera chargé d'une mission très dangereuse où il devra sauver son âme d'un sort pire que la mort !
Découvrira-t-il le secret de l'Ombre ou la vérité dépassera-t-elle ce qu'il est capable d'entendre ?



Date de parution : 25 octobre 2009
Editeur : Salvator
Nombre de pages : 379
Prix France : 16,50 euros

MON AVIS


Et si toute votre vie n'était qu'un tissu de mensonges, si profondément inscrit au fond de votre être qu'il en serait devenu inextricable ?
Et s'il existait plusieurs réalités alternatives au cœur desquelles l'environnement apparaitrait tel qu'il est vraiment ?
Et si chacune de ses réalités était une histoire écrite de la main de l'Auteur, lui-même ?

Une question terrifiante, une prise de conscience angoissante… Et si c'était vrai ?

L'histoire d'Hunter Brown nous propulse au plus profond  d'une réflexion psycho-religieuse intense, sous des airs bonhommes de romans "ultra-jeunesse".

Au début, je me suis un peu ennuyé, je l'avoue. Le niveau de l'histoire ne m'emmenait pas vraiment très loin — un humour facile, des situations légères, des découvertes importantes mais superficiellement traitées — j'avais l'impression d'avoir atterri dans une histoire qui ne me correspondait pas, usant d'un vocabulaire et d'une approche un peu trop "fraîche".

Mais heureusement, cette première impression parvient finalement à s'estomper et même, à disparaître totalement pour laisser place à une aventure dont l'envergure et le cheminement dépasse totalement les expectations du lecteur.

Et pour cause… Notre héros ne va pas se contenter de manger des cookies, affalé dans le canapé, devant son épisode préféré de Desperate Housewives ! Oh que non !

C'est dans un climat de peur et de confusion qu'Hunter Brown va être projeté dans l'univers de Solandria. Comment ? Tout "simplement" en touchant les pages d'un mystérieux livre magique qui lui a été remis par un mystérieux libraire dont la mystérieuse librairie s'est mystérieusement volatilisée juste après leur rencontre.

Un livre des plus énigmatiques, s'il en est, qui contient une multitude de Codes et de savoirs, faisant tous référence à une seule et même personne… l'Auteur.
Enigmatique et… prophétiquement menaçant :

"Né dans les ténèbres,
Trompé par le mensonge ;
Une porte s'est ouverte,
Par laquelle tu dois mourir.
Le monde que tu connais,
Bientôt ne sera plus.
Tu seras effacé, c'est certain ;
Ta mort est assurée."


Avouez que comme lecture légère du soir, il y a plus rassurant ^^
Et c'est la direction vers laquelle je tente de vous mener.

Sous ses abords patelins, ce roman regorge d'une nuées d'allusions et de comparaisons intriguantes et captivantes.
Les notions d'Auteur, de destin, de libre arbitre, d'absence de hasard et d'un créateur absent et indifférent du sort de l'humanité résonnent en effet comme des dizaines de débats et de pensées étrangements familières.

Pour autant, le lecteur n'est pas ici enfermé dans une considération religieuse et endoctrinante, car il s'agit d'un roman jeunesse qui brille par la richesse de ses idées revisitées, mais aussi et SURTOUT, par ses derniers chapitres totalement déboussolants et inattendus.

Je n'ai pu m'empêcher de feuilleter à nouveau les pages de ce premier tome après en avoir découvert le dénouement… Et une chose est sûre, on ne voit plus du tout les choses de la même manière.

Enfin, de par ses magnifiques illustrations, ce roman sort totalement de l'ordinaire. Les bords des pages sont brunies façon parchemin et le fil de l'histoire est animé par la présence de nombreuses représentations des scènes cruciales.

Un très bon livre, un très grand plaisir, une vive impatience d'ouvrir le tome 2 !

- Géant ! - 

a

novembre 03, 2011

Nouveau tirage au sort...

Nous sommes jeudi et l'adresse d'un des gagnants du tome 1 est toujours manquante.
Les règles étant ce qu'elles sont (les adresses devaient me parvenir pour mercredi soir au plus tard), un exemplaire du tome 1 a donc été remis en jeu et un nouveau tirage au sort a été effectué.

Sans plus attendre, voici le nom du nouveau gagnant (en l'occurrence, de la nouvelle gagnante) :P :

TOME 1


Zappia Elodie

Le concours est donc totalement bouclé, puisque l'heureuse élue m'avait indiqué ses coordonnées dans son mail de participation.
Vos coordonnées partent vers Pocket Jeunesse aujourd'hui.

Pour la réception, comptez un délai de 3 semaines.

BRAVO A TOUS
et merci pour votre participation 

octobre 29, 2011

And the winners are...

24h d'avance...
C'est-y pas beau ça ?

J'avais prévu de vous annoncer les résultats demain, mais finalement, puisque je suis bon prince, je vais mettre un terme à cet insoutenable suspense... TOUT DE SUITE !

Vous l'aurez compris, 2 questions sur 3 étaient tout à fait... euh... BIDON ! :P
Mais enfin... Constatez par vous même :)

2. Mais qui peut bien être le Vieux Druide Sans Nom ?
a. Aucune idée, c'est la première fois que je viens sur ce blog
b. Un vieux barbu à l'humour douteux (qui s'est récemment blessé)
c. Bah, c'est le Vieux Druide Sans Nom, quoi !
d. La réponse D

Question subsidiaire :
Combien de personnes vont participer à ce concours ?
a. Plus d'une
b. Entre 3 et 3000
c. Moins de 3000

Humm... La subtilité de la question subsidiaire a malgré tout échappé à certains d'entre vous.
Mais enfin, en y regardant de plus près, TOUTES les réponses étaient possibles :)
Il est évident que plus d'une personne ont participé à ce concours. 
De même que moins de 3000 (pour 8 tomes en jeu en même temps, mieux vaut ^^)
Et entre 3 et 3000... eh bien... plutôt probable aussi ^^

Mais suffit de blablater...
Voici le nom des gagnants :)

TOME 1


Karine
Marion (gr3nouille)
Mililivre



TOME 2


Anne Sophie
Catherine Saudrais
Enya
Mathilde
Thomas Lejeune


Au total, vous étiez 29 à participer à ce concours, tous tomes confondus :)
Le tirage au sort s'est effectué en présence virtuelle d'Anne Sophie (qui m'a déchiré les tympans lorsque son nom est sorti de l'urne)

Pour ceux qui ne l'ont pas encore fait, veuillez m'envoyer vos adresses avant mercredi soir, dernier délai: jullienc@live.fr
Si l'adresse d'un gagnant venait à manquer, un nouveau tirage au sort aurait lieu pour les tomes remportés par ledit gagnant.

FELICITATIONS AUX 8 GAGNANTS !


octobre 21, 2011

CONCOURS POCKET JEUNESSE - Chroniques de la fin du monde de Susan B. Pfeffer

Enfin c'est le grand soir : l'astéroïde dont tout le monde parle va percuter la Lune ! Familles, voisins, amis, tous se rassemblent pour observer le phénomène. Mais les choses ne se passent pas comme prévu. L'impact a été si violent que la Lune a dévié de son orbite et s'est rapprochée de la Terre. Peu à peu tout se dérègle... L'électricité puis l'eau sont coupées et les vivres commencent à manquer. Miranda et sa famille vont devoir accepter que la vie telle qu'ils la connaissaient a disparu à jamais.


Un roman totalement captivant et bouleversant dont je ne suis absolument pas sorti indemne.
Un chef d'oeuvre dont vous pouvez retrouver ma chronique ICI.

Vous êtes fans de dystopie ?
Vous ne craignez pas les histoires qui sortent des sentiers battus ?
Vous avez envie de découvrir l'oeuvre de Susan Beth Pfeffer ?

Ce concours est fait pour VOUS !

Les éditions POCKET JEUNESSE vous offrent aujourd'hui 3 exemplaires du tome 1, "Au commencement", et 5 exemplaires du tome 2, "L'exil"* (chacun de ce tomes peut se lire indépendamment l'un de l'autre, l'histoire se focalisant sur des personnages différents).

Tome 1 : Au commencement
Tome 2 : L'exil

Pour tenter de remporter l'un de ces exemplaires, rien de plus simple, répondez simplement aux 3 questions ci-dessous :

1. Quel phénomène terrestre l'attraction lunaire régule-t-elle ?

a. La chute des feuilles
b. Les marées
c. L'hibernation des hérissons d'Europe
d. Les heures de diffusion de Secret Story (ah... l'émission est terminée ?)

2. Mais qui peut bien être le Vieux Druide Sans Nom ?

a. Aucune idée, c'est la première fois que je viens sur ce blog
b. Un vieux barbu à l'humour douteux (qui s'est récemment blessé)
c. Bah, c'est le Vieux Druide Sans Nom, quoi !
d. La réponse D

Question subsidiaire :
Combien de personnes vont participer à ce concours ?

a. Plus d'une
b. Entre 3 et 3000
c. Moins de 3000


Envoyez vos réponses (accompagnées des modalités habituelles de politesse ^^) avant le 28 octobre à 23h59 à l'adresse suivante : 
jullienc@live.fr 
N'oubliez pas de préciser le tome pour lequel vous participez au concours

Le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses et son nom sera dévoilé le dimanche 30 octobre dans la soirée.

Le mot de la fin ?
Eh bien...
Merci POCKET JEUNESSE

BONNE CHANCE !

CONSEIL
Pensez à aimer la page Facebook de Pocket Jeunesse et/ou, à visiter le site web des éditions à l'adresse suivante : www.pocketjeunesse.fr

*Concours réservé à la France, à la Suisse et à la Belgique.





octobre 19, 2011

QUATRIEME DE COUVERTURE

NOM : Green
PRENOM : Pénélope
SITUATION FAMILIALE : Orpheline.
Unique héritière du journaliste James Alec Green
AMBITION (SCANDALEUSE) : devenir journaliste
SIGNES PARTICULIERS : une envie d'étrangler son prétendant, cette endive de Wilfrid, et un goût prononcé pour l'aventure et le danger.




Date de parution : 14 septembre 2011
Editeur : Casterman
Nombre de pages : 312
Prix France : 15,00 euros

MON AVIS

Quelle imagination !
Quel suspense !
Quelle maîtrise !

Il y a quelques temps, j'avais déjà eu l'occasion de me frotter à la douce magie dont use Béatrice Bottet dans ses romans et le premier tome de cette nouvelle saga ne fait que confirmer l'immense talent de l'auteure.

Une fois de plus, c'est à coup de mots ensorceleurs que cette enchanteresse littéraire parvient à nous conquérir. L'envie de lire est là ! Pire qu'une envie, il s'agit d'un véritable besoin. Bien mal vous en prendra de ne pas terminer un chapitre par manque de temps, car tout au long de la journée, vous n'allez plus penser qu'à ça !

Impossible de dévier mes pensées vers autre chose, j'étais comme obsédé, transformé en un véritable Pénélope-Green-addict.
Il faut dire que l'histoire est adroitement ficelée.

Une jeune fille issue de la bourgeoisie aisée, Pénélope Green, reprend une enquête journalistique entamée par son père et brutalement interrompue à la mort de celui-ci.
Cette enquête l'entraîne dans les bas-fonds londoniens, au cœur des quartiers mal fâmés de l'East End, où elle découvre qu'un mystérieux club de gentlemen se donnait rendez-vous à Foxglove Court, un agglutinement d'habitations plus glauques les unes que les autres, jusqu'au violent meurtre d'un jeune musicien, égorgé vif, dont le corps fut retrouvé à l'endroit où ces étranges réunions avaient lieux.

Au fil de ses recherches, Pénélope rencontre Herbert Cox, un musicien généreux et philanthrope fasciné par les histoires des journalistes et dont elle s'éprend d'amitié, après qu'il lui ait offert sa protection.

Pénélope croit fermement en sa capacité à dénouer l'affaire de cet horrible meurtre, mais plus elle tente de rassembler des indices, de receuillir des témoignages et de se rapprocher de la vérité, plus l'histoire s'assombrit, plus les preuves deviennent contradictoires et plus le mystère s'épaissit.

Ca n'a l'air de rien comme ça, certes… Mais il est difficile de prodiguer un résumé alléchant sans risquer de spoiler outrageusement l'œuvre de l'auteure, tant les moindres détails du roman trouvent idéalement leur place dans l'histoire et s'imbriquent les uns aux autres pour former un récit d'une profondeur inouïe, qui, non content de régaler le lecteur, se targue aussi de nous offrir une intense réflexion sur la condition et la perception masculine de la femme, vers la fin du XIXè siècle.

Béatrice Bottet réussit une nouvelle fois le défi de m'envoûter, du premier au dernier mot.
Ce roman est un gisement de suspense distillé d'une main experte et et ingénieuse. On tourne les pages, on dévore le moindre mot, on a envie de frapper des pieds… Tout va vite, tout va très vite. A aucun moment on ne voit ni ne sent les choses arriver, chaque chapitre réservant son lot de surprises (et pas que des bonnes !).

Un MUST-HAVE de la littérature jeunesse, loin de ces histoires "nian-nian" de vampires, de loups-garous ou de sorcières qui découvrent leurs pouvoirs à l'adolescence.

Du brut, du dérangeant, du glauque… Mais le tout répandu avec un lyrisme somptueux et une poésie à couper le souffle !

Totalement GRISANT !
Bref… Un coup de cœur (comme si vous ne l'aviez pas déjà compris ^^)

Et quoi de mieux que de partager ce coup de coeur avec une autre fan de Béatrice Bottet
J'ai nommé ANNE SOPHIE, dont vous pouvez retrouver la chronique en cliquant sur le logo ci-dessous.

- TOTALLY IN LOVE -

a

septembre 15, 2011

QUATRIEME DE COUVERTURE

Jasper; 15 ans; Grand, maigre, peau blafarde et yeux charbon;
Agent stagiaire à l'Association et lycéen (à ses heures perdues).
Pratique la magie et joue de la cornemuse dans un groupe de roch médiéval. Aime les mauvais jeux de mots, Donjons & Dragons, l'Agent stagiaire Ombe.
Mission : Faire ami-ami avec Erglug le troll et sauver la vie de l'Agent Ombe


Date de parution : 10 mars 2011
Editeur : Gallimard Jeunesse / Rageot Editeur
Nombre de pages : 198
Prix France : 9,90 euros



MON AVIS

Mais comment diable Erik L’homme fait-il pour transformer un roman de Fantasy Jeunesse en une véritable mine d’or d’humour décapant ?
Entre abus de jeux de mots improbables, situations grotesques et évènements faisant appel à une narration finement grandiloquente, c’est avec un plaisir non dissimulé que l’on retrouve le Jasper dont on aurait pu s’éprendre, dans le tome 1, s’il avait été réel.

Chaque page rugit d’un tonnerre de légèreté et d’ironie, d’un humour parfois simple, mais ô combien efficace. Et si on peut légitimement penser qu’au bout de quelques pages, ce rythme va s’amenuiser, il n’en est rien ! Jusqu’à la toute dernière phrase, Erik L’Homme nous repaît d’un savant mélange de magie et d’humour totalement UNIQUE, INNIMITABLE et EXCEPTIONNEL.

Jasper a gardé tous les défauts qu’on lui connaissait et qui le rendent si attirant : il est spontané, intellectuellement et spirituellement narcissique, fougueux et maladroit.
Les évènements liés à sa dernière mission lui ont valu d’être suspendu de son poste de stagiaire par l’Association, qui l’a mis à pied pour plusieurs semaines.

C’était sans compter sur un appel nocturne d’Ombe, l’une de ses collègues stagiaires.
Au bout du fil, Jasper entend des voix, des bruits de lutte et puis… plus rien !
Ni une, ni deux, il décide de partir à la recherche d’Ombe et utilise la magie pour créer un sort de localisation GPS en liant les fréquences de leur deux téléphones mobiles et ce, malgré sa supension :

« C’est vrai, l’article 7 est très clair » explique-t-il, « L’agent se conforme strictement à sa mission. Mais que dit l’article 8 ? L’aide à un agent en danger prime sur la mission. Si ma mission est de ne pas être en mission, alors l’article 8 prend le pas sur l’article 7 ! Ca, c’est fait. »

Et voilà notre ami Jasper, armé de son mobile-GPS illuminé d’une flèche bleue, parti voler (ou plutôt rouler en scooter) au secours de son amie (aimée ?) Ombe.

Et le chemin à parcourir va être aussi difficile qu’inattendu, tant pour les protagonistes que pour les lecteurs.
Que les choses soient claires… rien, absolument RIEN dans ce roman n’est prévisible !
Erik L’Homme est un véritable maître du suspense fantastique et, à ce titre, il nous a concocté un pur chef d’œuvre qui mérite d’orner des milliers de bibliothèque à travers l’intégralité des communautés francophones.

Ce troisième tome d’A comme Association regorge d’une multitude de qualités qui font d’un roman jeunesse un excellent moment de richesse et de somptuosité littéraire. Non seulement par le caractère de l’univers créé (qui n’a rien de révolutionnaire mais qui transcende totalement par la noble plume de l’auteur), mais aussi et surtout par son humour présent tout au long de l’histoire. On sourit, on rit, on s’esclaffe et on se sent bête d’être ainsi plié de rire devant un bouquin… Dieu que c’est bon !

Un INCROYABLE moment.
198 pages durant lesquelles on garde les yeux totalement écarquillés !
198 pages qu’on tourne fébrilement les unes après les autres…

Avez-vous déjà ressenti cette sensation étrange qui vous parcoure tout le corps, comme si des dizaines de papillons vous chatouillaient les sens pour vous emporter dans le flot de leur envol ?

Moi en tout cas, cette sensation, je l’ai ressentie tout au long de ma lecture d’A comme Association, tome 3. Un moment magique, un moment unique, un moment euphorique.

Juste WAW !
Thank you so much, Mister L’Homme !
Read your words Soon J

En exclusivité, retrouvez la chronique de mon acolyte de lecture, en cliquant sur le logo de LC juste en-dessous de cet article.

- IN LOVE -
et bien plus encore 

septembre 09, 2011

SEULS, TOME 1 : LA DISPARITION de Gazzotti/Vehlmann

QUATRIEME DE COUVERTURE

Dans une ville dont les habitants ont mystérieusement disparu, cinq enfants vont devoir apprendre à se débrouiller... seuls.









Date de parution : 26 décembre 2005
Editeur : Dupuis
Nombre de pages : 56
Prix France : 10,45 euros



MON AVIS

Le verdict est clair, précis et sans appel : une BD, ça se lit definitely bien plus vite qu'un roman de 400 pages. D'autant plus lorsque les cases sont grandes, les dialogues relativement concis et l'histoire dotée d'un rythme effréné.

Entendons-nous bien, rythme effréné ne veut pas dire qualité indiscutable. Car si les 56 pages de ce premier tome déborde d'une dose d'action plutôt consistante, elles ne servent véritablement que de mise en place de l'histoire, de présentation des personnages et d'apéritif, plus ou moins doucereux, à pour ce qui pourrait être proposé par la suite.

Soyons franc !
Certes, j'ai dévoré l'intégralité de la bande dessinée en moins de temps qu'il n'en faut pour prononcer hexakosioihexekontahexaphobe, mais je n'ai pas eu pour autant l'impression d'avancer dans l'histoire. 
Du début à la fin, il ne se passe pour ainsi dire... RIEN ! Les enfants sont livrés à eux-mêmes, ils traversent la ville pour trouver des réponses à leurs questions, se mettre à l'abri et tenter de trouver d'autres "survivants", mais il ne se passe RIEN de plus ! Pas la moindre petite révélation, pas le moindre petit mystère pour nous tenir en haleine. 
Enfin si... Il y a bien un petit mystère qui pointe le bout de son nez en milieu de parcours, mais le soufflé retombe très vite lorsqu'on se rend compte que la recette est erronée.

L'histoire suit son cours, les pages se tournent avec une avidité partielle, et puis, quand vient la fin, le choc tombe, la phrase dévale l'esprit pour traverser les lèvres : "Tout ça pour ça ?"

Mais ne soyons pas totalement négatif quand on peut soulever les merveilles positives qui compose chacune des pages de cet album : les dessins. WAW ! Quel travail ! Quel graphismes réalistes ! A plusieurs reprises, on croirait voir les éléments prendre vie sous notre regard et l'histoire s'animer aux dépends de notre lecture. 

Bref... Un album qui trônait fièrement dans ma bibliothèque depuis des mois, que je me suis enfin décidé à ouvrir hier soir, que j'ai terminé (trop) rapidement et dont je sors passablement déçu.

Mais je reste convaincu que SEULS fait partie de ces sagas dont il est nécessaire de dévorer l'intégralité pour pouvoir se délecter de sa puissance et savourer sa portée. Je l'espère en tout cas... parce que les tomes 2 et 3 sont dans ma bibliothèque depuis presque aussi longtemps que le premier :)

Affaire à suivre, donc ! :)

- It was OK, but it was just... OK! -